P. Assouline - écrivain - P. Zard - chercheur
Merci d’avoi Rétabli la chronologie de ce géant afin que son œuvre reste vivante. Que les futures générations s’en inspirent. Excellente initiative pour les inciter tout d’ àbord à de fécondes lectures et qui sait à poursuivre par des œuvres inspirées Cordialement.
Pierre Assouline est né à Casablanca au Maroc. Ecrivain et journaliste, il a été le directeur de la rédaction du mensuel Lire, chroniqueur au Monde 2, critique pour Le Nouvel Observateur, et membre du comité de rédaction du mensuel L'Histoire. C'est également un homme de radio, à France Inter (1986-1990), RTL (1990-1999), ponctuellement sur France Culture. Il est enfin chargé de conférence pour le cours de lecture/écriture à l'école de journalisme de l'Institut d'études politiques de Paris. Il est l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages, qui sont à la fois biographies, enquêtes et témoignages. On lui doit, notamment, Lourdes histoires d'eau (Alain Moreau, 1980) et Les nouveaux convertis (Albin Michel, 1982), des entretiens avec Antoine Blondin (Le flâneur de la rive gauche) et Raoul Girardet (Singulièrement libre), ainsi que les biographies très fouillées, consacrées à Marcel Dassault, Simenon, Gaston Gallimard, Jean Jardin, Kahnweiler, Albert Londres, Hergé et ,en 1997, Le dernier des Camondo. (Mise à jour: septembre 2007).
Philippe Zard est ancien élève de l'E.N.S. de Saint-Cloud, agrégé de lettres modernes, docteur en littérature comparée, maître de conférences de littérature comparée à l'Université de Paris Ouest-Nanterre. Habilité à diriger des recherches.
Cohen Juif univoque 03 juin 23:33, par Myriam Anissimov
Passionnante conversation. Surtout sur la judéité de Cohen, qu'il assumait. Ainsi, je repense à Gary qui n'a vraiment assumé son identité qu'en signant Ajar, surtout dans Pseudo, où il écrit : "Je suis juif docteur, d'où haine de soi, sauts de carpe... "
Cohen est univoque, et Gary équivoque. Voilà pourquoi il permet à des illuminés de l'imaginer catholique, bien qu'il ne le fût pas.
Assouline va toujours, en peu de mots, à l'essentiel.
Autre chose. Solal me parait le plus accompli parce qu'il n'est pas verbeux et ne cherche pas l'effet. Il est de ce fait éblouissant.